2012 est une année de grand "collapse", contradictoire, essoufflée, violente, écartelée, écarlate, où tant de mondes s'écroulent devant notre conscience épuisée, où tant d'autres surgissent, mais dont on ne voit nulle destination claire... : restent quelques rares villes où souffle l'esprit, où, pour quelques heures et quelques heureux, le ciel s'éclaircit et s'apaise.
Voici Fès, toujours si chère à mon coeur et à ma mémoire, et un film bien révélateur de la grâce reçue et distribuée dans ce lieu béni, à la période bénie du Festival des Musiques Sacrées :
FESTIVAL DE FÈS DES MUSIQUES SACRÉES DU MONDE 2011 par cinaps
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